Au mois d’avril dernier, j’ai été passer une dizaine de jours dans les Vosges, mon territoire de naissance. J’aime ces montagnes et ce lieu qui m’a vu grandir.
Devant la maison coule un petit ruisseau qui fait le bonheur de mon père et de mes nièces et neveu.
Une eau vive et fraiche ou viennent se nicher quelques truites que l’on peut observer en approchant sans bruit.
La source de ce petit ruisseau se trouve à quelques kilomètres au dessus, dans les montagnes.
Je passe de temps en temps devant cette source quand je pars me promener en forêt pour quelques heures. Ce jour-ci, j’avais envie de monter vers le refuge et aller voir la source, la saluer. Je suis partie sur les sentiers les mains dans les poches et le regard vers les cîmes, la joie au cœur, ravie de ce que ce moment de rencontre intime avec la forêt allait encore m’apporter.
Durant la marche, je parlais avec la nature et me laissait gagner par l’instant présent et toutes les surprises qu’il contient.
Arrivée en haut, je m’arrêtais au pied de la source et j’escaladais les derniers mètres pour arriver à l’endroit précis où l’eau sort de la terre. Un endroit magique : une eau dont on ignore tout de son cheminement jusque là et qui ici, sort de la terre en un flot très ténu qui ruisselle sur la pente et devient un petit ruisseau, plus bas, dans la vallée. C’est extraordinaire d’assister à cette venue à la surface. Cette offrande de Terre Mère qui depuis les profondeurs choisit de rencontrer le soleil et la vie de la forêt. Je suis hypnotisée par tout ce que je vois, au-delà de mes yeux. Je reste le temps qu’il faut à savourer la rencontre. Des retrouvailles. Des retrouvailles car au fond de mon être, je reconnais ces choses, je les connais dejà, et je sens que je retrouve un peu la Maison de mon âme quand je ressens la Terre ainsi.
La source est bien cachée, entourée de mousse, protégée par les branches basses de jeunes sapins et de hêtres. Avec un bâton ramassé au sol, je dégage l’accès à l’eau couvert de terre et de feuilles mortes. Je sens la présence des animaux non loin. Je me sens au cœur de la Forêt et les présences dansent autour la source.
Je demande alors si cette eau peut être cueillie pour soutenir la Guérison des êtres, pour soutenir la Lumière et accompagner les êtres sur leur chemin... Et je sens une joie immense qui me déborde du cœur. Vous savez, c’est comme quand un animal vient se câliner contre vous. Eh bien là, c’est la forêt qui vient se câliner contre votre Coeur. C’est une sensation indescriptible de pure joie et de sérénité absolue.
C’est décidé, je reviens le lendemain avec des petits pots pour cueillir un peu de cette eau sublime et divine. Je suis profondément émue de sentir, à chaque fois, combien la Terre Mère est généreuse et dévouée, dès qu’il s’agit de la solliciter pour venir en aide à notre humanité. C’est une aide infaillible et d’une puissance absolument terrassante. D’Amour.
Je suis donc revenue le lendemain avec mes petits pots dans mon sac à dos.
Sur le chemin qui monte à travers la forêt, je sème des prières de gratitude et d’émerveillement face à la beauté qui m’entoure et me guide. Je me sens en sécurité et pleinement chez Moi, la Maison de mon âme.
Je suis attentive au son qui se dégage lorsque mes semelles se posent sur le sol. Attentive à l’odeur de l’air que j’inspire… Attentive à toute sorte de choses. J’ai pris quelques noisettes à offrir à la forêt mais au moment d’en disperser quelques unes, je sens le message qui traverse mon esprit, comme un léger vent : « La marche est une offrande. La qualité de la présence est une offrande à la forêt ». C’est même la Première des offrandes.
Je disperse quelques noisettes avec un cœur enfantin, je joue, je parle, je partage, je me sens libre et la plus heureuse du monde. Ici, dans la forêt.
Auprès de la source, je m’installe et sors mes petits pots. Je les dispose sur la mousse. Il reste encore un peu de neige. Le silence est si paisible. Les oiseaux négocient leurs affaires dans les airs. L’endroit et tellement accueillant. Mon cœur parle, admire, remercie, et joue, toujours et encore avec les élans de vie qu’il perçoit partout. Je recueille cette eau divine, bénie et infiniement précieuse avec toute la douceur et toute la bienveillance dont mon cœur est capable. La forêt vibre autour de moi. J’ai l’impression que l’eau choisit d’entrer dans mon petit pot…
L’instant est merveilleux …
Je demande à ce que cette eau soit protégée de toute information négative due à la « séparation » physique du flux, afin qu’elle conserve au-delà du temps et de l’espace, et de la forme, l’information primordiale de Vie, d’amour et de Guérison, d’harmonie et de Puissance. Je sens dans mon cœur que cela est donné, car il n’y a qu’à demander. Avec le cœur. Sans l’ombre d’un doute.
Vous avez probablement déjà entendu ou lu des choses au sujet de l’eau… Nous sommes faits d’eau à plus de 70 pourcent et nous sommes entourés d’eau constamment, dans l’air que nous respirons. C’est une puissance qui est en nous, à portée de nos mains.
D’après les enseignements et guidances que je reçois de la nature, je considère l’eau comme un élément particulièrement précieux en ces temps-ci. C’est du Cristal liquide. Avec un pouvoir d’information et de programmation inoui. Elle aide à nous aligner aux hautes vibrations Cristallines qui émergent en ce moment et favorise l’adaptation de notre ADN à la nouvelle terre.
L’eau est capable de miracles. Elle peut informer notre corps de messages de Vie, de fluidité, d’harmonie. Sa puissance est à l’image de sa transparence, de sa simplicité, de la sobriété de son apparence.
J’ai mis cette Eau de guérison des Vosges, bénie par la forêt et les Présences bienveillantes de la Nature dans des petits flacons que je vous propose de découvrir lors de nos prochains stages.
Pour la Guérison de tous les êtres.
* Si vous souhaitez en recevoir un flacon, vous pouvez me contacter par mail: nature.sensible34@gmail.com
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